Anaïs COULON
Rédactrice en chef du Magazine de l’ANDRH (association nationale des DRH)
Anaïs COULON, membre du Conseil d’administration du SPS
« La presse sociale a un devoir de pédagogie à destination de son lectorat, tout en maintenant une grande exigence et qualité dans la production de ses contenus. »
Son parcours
Diplômée du Master Organisations et Management des RH de Sciences Po Paris en 2018, j’ai rejoint l’Association Nationale des DRH en tant que rédactrice et cheffe de projets. Je suis par la suite devenue rédactrice en chef du magazine de l’ANDRH en 2020 et suis depuis début 2023 responsable éditoriale de l’ANDRH (magazine, enquêtes, veille…). J’ai également une spécialisation dans les domaines de la diversité et de l’inclusion. J’ai contribué ainsi à la rédaction de deux ouvrages : « La fonction de responsable Diversité » (Editions AFMD, 2017) et « Le racisme et la discrimination raciale au travail » (Editions AFMD, 2018) ».
Le Magazine de l’ANDRH
Le magazine de l’ANDRH décrypte pour les professionnels des ressources humaines, les grands thèmes de l’actualité RH et économique. Décryptages pratiques, témoignages de grands témoins, retours d’expérience de professionnels RH, portraits…. Les formats sont variés pour répondre à un objectif : aider nos lecteurs RH à mieux cerner les tendances de leur secteur d’activité, et faciliter leur quotidien professionnel. Le magazine de l’ANDRH est composé de 84 pages, au rythme de 7 numéros et 6 suppléments thématiques par an.
Sa définition de la presse sociale
La presse sociale a un double rôle : décrypter l’actualité et les tendances du ou des secteurs d’activité dans lesquels elle est engagée, et porter la voix de son lectorat. La presse sociale a, à mon sens, un devoir de pédagogie à destination de son lectorat, tout en maintenant une grande exigence et qualité dans la production de ses contenus. Elle a également vocation à simplifier le quotidien des professionnels, bénévoles et usagers qui lui font confiance.
Son engagement
Rédactrice en chef d’un média au cœur d’un réseau associatif, je vois tous les jours l’importance et l’utilité des échanges entre pairs ! L’une de nos devises à l’ANDRH est « Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». Je pense que cela s’applique particulièrement au domaine de la presse sociale et aux actions du SPS !
Zoom sur une action du SPS particulièrement marquante
J’apprécie particulièrement le travail qui est mené actuellement pour mettre en visibilité les adhérents du syndicat, faciliter la connaissance des actualités de chacun et produire une communication régulière à destination des membres. C’est un axe d’actions important pour faire vivre toute organisation.
Quel prochain combat pour le SPS ?
A mon sens, la lutte contre la désinformation est un enjeu crucial pour l’avenir de la presse professionnelle. Désinformation, fake news, intelligences artificielles génératives… Face à ces bouleversements, l’éducation à l’information et à l’esprit critique, auprès de toutes les générations, est un combat qui me paraît primordial et que pourrait porter le SPS.