La vidéo de présentation

Qui sommes-nous ?

Le Syndicat de la Presse Sociale (SPS) rassemble près de quatre-vingts éditeurs (mutuelles, syndicats, associations…) afin de représenter, défendre et promouvoir l’information sociale. Le SPS compte quasiment une centaine de publications et propose à ses 15 millions de lecteurs une très grande variété de périodicités, de moyens mis en œuvre et de tirages.
Le Syndicat de la Presse Sociale est ouvert aux publications sociales, éditées notamment par les organisations syndicales, mutualistes et associatives.

Notre mission

Tout en inscrivant son action dans celle de la Fédération nationale de la presse d’information spécialisée (FNPS), le SPS s’est toujours efforcé d’être à la fois producteur et diffuseur d’informations, mais aussi acteur des questions sociales. Ainsi il s’agit d’une presse citoyenne à but non lucratif, ce qui lui permet de garantir son indépendance.
Le Syndicat de la Presse Sociale offre à ses éditeurs une gamme complète de services pratiques et personnalisés (information et formation générale ou thématique, conseil et assistance juridique, technique, administrative, fiscale…) et représente ses intérêts auprès des autres acteurs de la profession notamment les ministères et administrations de tutelle (CPPAP, CCIJP…).
Avec le SPS, vous obtiendrez des réponses à vos interrogations sur :

  • la gestion : interrogations juridiques, sociales, fiscales, questions européennes…
  • la CPPAP : obtention et renouvellement du numéro, réglementation, avantages et obligations…
  • la diffusion postale : tarifs, numéro spécial et supplément…
  • les nouveaux médias : stratégie Internet, médias électroniques, développement…

Les missions du SPS sont également de servir l’information sociale, de mobiliser l’opinion, de critiquer, de nourrir et d’enrichir la pensée sociale. Le SPS se veut être l’amplificateur des engagements éthiques de ses adhérents, mais au-delà d’un simple engagement, il s’agit d’une vraie mobilisation contre l’exclusion sociale.

Un engagement constant

Le SPS réalise, en partenariat avec l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI), depuis près de vingt ans, des campagnes d’information au sujet de l’illettrisme, pour sensibiliser l’opinion et les pouvoirs publics à ce phénomène, dont l’ampleur est trop souvent sous-estimée.
Aujourd’hui, conscient de la fracture numérique liée principalement aux usages plus qu’à l’équipement, le SPS s’engage contre l’illectronisme.

Le mot de la présidente

Après plusieurs campagnes de lutte contre l’illettrisme, le SPS s’est engagé en 2018 contre une nouvelle forme de fracture sociale : l’illectronisme, cette impossibilité ou cette difficulté à maîtriser les outils numériques.
Le constat est alarmant : c’est près d’un quart des Français, 11 millions de personnes, toutes conditions et tous âges confondus, qui ressentent un certain malaise avec le numérique. Près d’un tiers sont même conduits à renoncer à une recherche d’informations, à une requête, une démarche administrative ou commerciale. Après deux années de sensibilisation des pouvoirs publics à travers près de 300 articles de presse, une centaine d’émissions TV, radio, web, et l’édition d’un livre blanc (déjà réédité), la campagne menée par le SPS a très certainement apporté sa pierre à l’édifice. Nous ne pouvons que nous réjouir qu’au premier semestre 2020, le Sénat ait lancé une mission d’information « sur la lutte contre l’illectronisme et pour l’inclusion numérique ». Bien entendu le SPS poursuivra dans les années futures son engagement pour ces grandes causes.

Laurence HAMON, Présidente

Les chiffres du Syndicat de la Presse Sociale

Le SPS résumé en quelques chiffres :

70

éditeurs principalement dans le secteur non marchand

99

publications mutualistes, associatives et syndicales

74,7

millions d’exemplaires au total chaque année

60 % des adhérents du SPS bénéficient du régime dérogatoire de la Commission Paritaire des Publications et Agences de Presse (CPPAP).

Ces publications répondent à diverses dispositions du droit commun … :

  • avoir un caractère d’intérêt général
  • répondre aux critères de périodicité et ainsi paraitre au moins une fois par trimestre,
  • être assimilable à une publication de presse et ainsi présenter un lien avec l’actualité,
  • maximum 50% de contenu relatif à la vie interne de l’organisme.

… mais relèvent d’un régime d’exception sur deux points :

  • Pas d’obligation de répondre au critère de vente effective,
  • Maximum 20% de publicité.

Ce statut concerne les publications :

  • mutualistes,
  • syndicales,
  • dites de « Grandes causes »,
  • d’anciens combattants, mutilés ou victimes de guerre.

Source : www.cppap.fr/le-regime-derogatoire

Le conseil d’administration

Le CA compte quinze administrateurs, dont sept sont membres du bureau.

LE BUREAU


Présidente
Laurence HAMON

Vice-Président
Laurent MILET

Vice-Président
Roland STURMEL

Secrétaire Générale
Annie DE LUCA

Secrétaire Général Adjoint
Bernard FAURÉ

Trésorier général
Laurent PAGNIER

Trésorier général adjoint
Éric PRÉVOST

LES ADMINISTRATEURS


Bernard BELAIR
RER
Le Mutualiste
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Anaïs COULON
ANDRH
Le Magazine de l'ANDRH
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Delphine DELARUE
Coopérative d'Édition de la Vie Mutualiste
Viva Magazine

Pauline COUTIER
Coopérative d'Édition de la Vie Mutualiste
www.vivamagazine.fr

Bernard FAURÉ
Coopérative d'Édition de la Vie Mutualiste
La Mag de la Mutuelle Familiale

Annie DE LUCA
CDC Mutuelle
CDC Mutuelle Magazine
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Laurence HAMON
CIEM
La Lettre de l'Économie Sociale

Philippe MARCHAL
CIEM
Mutualistes
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Laurent MILET
CGT / La Vie Ouvrière
La Vie Ouvrière - Ensemble
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Laurent PAGNIER
Union Départementale CGT Seine St Denis
Le BIMI
Voir interview

Éric PRÉVOST
Union Régionale CGT Ile de France
L’Union
Voir interview

Christophe RENAUDINEAU
Prodigéo Assurances
Le Fil des Ans
Voir interview

Marie-Christelle SAUVÉ
MGEFI
Couleurs
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Roland STURMEL
Harmonie Mutuelle
Harmonie Santé
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Brigitte YVRAY
Union Confédérale des Retraités (UCR) CGT
Vie Nouvelle