Laurent PAGNIER

Secrétaire de l’Union Régionale CGT Île-de-France. Représente la publication Le Bimi



« La presse sociale est une presse qui porte l’intérêt général, qui informe, qui éduque, qui aide à donner un sens à la citoyenneté et à l’engagement. »

Laurent PAGNIER, membre du Conseil d’administration du SPS

Son parcours

Engagé dans le syndicalisme depuis mes études, je suis actuellement secrétaire de l’Union Régionale CGT Île-de-France chargé de la presse, de la communication et des relations internationales. Auparavant j’ai travaillé comme chargé de mission dans différentes municipalités.

Le Bimi

Le BIMI, bulletin d’information aux militants existe depuis de nombreuses années. Il traite de l’activité syndicale de la CGT sur le département de Seine Saint Denis et apporte également des analyses et revendications sur des sujets régionaux et départementaux.

Sa définition de la presse sociale

C’est une presse informative sur des sujets spécifiques, syndicaux, mutualistes et engagée dans le cadre de l’économie sociale et solidaire.

C’est une presse qui porte l’intérêt général, qui informe, qui éduque, qui aide à donner un sens à la citoyenneté et à l’engagement aussi divers soit-il.

Son engagement

Le mandat au Conseil d’administration m’a été confié par mon organisation syndicale. J’y ai été trésorier adjoint puis trésorier. Les informations et débats que nous avons au CA sont très intéressants et permettent de mieux appréhender les enjeux autour de la Presse en général et de la presse sociale en particulier. C’est aussi un lieu d’action où sont décidées des campagnes d’ampleur contre l’illettrisme et plus récemment contre l’illectronisme.

Zoom sur une action du SPS particulièrement marquante

L’élaboration du livre blanc et la campagne sur l’illectronisme qui est un illettrisme numérique et touche principalement les personnes les plus vulnérables. C’est aussi un marqueur d’inégalités sociales. C’est un combat de notre époque !

Quel prochain combat pour le SPS ?

Poursuivre la lutte contre l’illettrisme et l’illectronisme ; combats qui sont encore d’une importance énorme. Peut-être mieux lier les deux et agir sur les inégalités. Faire reculer ces illettrismes c’est mener un combat en faveur de l’éducation, de la culture et de la démocratie. Je pense qu’il faut élargir notre combat à ces champs d’action.